Revenir au site
· SECURITE

Patrick Muyaya, le ministre de la Communication et porte-parole du gouvernement congolais, a révélé un bilan accablant sur les exactions commises dans les zones sous occupation du M23, soutenu par le Rwanda (RDF). Selon ses déclarations, 73 cas d'assassinats et d'exécutions sommaires ainsi que plus de 112 cas de torture ont été enregistrés depuis quelques mois.

broken image

Ces chiffres mettent en lumière la gravité de la situation sécuritaire dans l'Est de la République Démocratique du Congo (RDC), où les populations civiles continuent de subir des violences extrêmes. Le gouvernement congolais, appuyé par des organisations de défense des droits humains, dénonce ces crimes et appelle à une réaction ferme de la communauté internationale.

La déclaration de Patrick Muyaya, lue sur la RTNC, met en lumière la gravité de la situation sécuritaire dans l'Est de la RDC. En plus des crimes graves rapportés (assassinats, exécutions sommaires et actes de torture), le porte-parole du gouvernement a dénoncé l’installation d’une administration parallèle par les rebelles du M23/RDF dans les territoires sous leur contrôle.

broken image

Points clés de son compte rendu :

  1. Administration parallèle des rebelles : Le M23 aurait instauré une structure administrative dans les zones occupées, sapant l'autorité de l'État congolais.
  2. Détermination des FARDC : L'armée congolaise reste mobilisée pour défendre l'intégrité territoriale face aux incursions du M23 et du Rwanda.

Rédaction Horizon Plus Consulting

Horizon Plus Consulting